Aujourd'hui, c'est la puissance de l'argent qui gouverne le monde. Les hommes d'affaires ont plus d'influence que les présidents.

Les leaders de l'Eglise d'aujourd'hui ne doivent pas être ignorant sur le sujet et ne doivent pas penser que l'argent ne les concernent pas. Les nouveaux généraux de Dieu doivent être des hommes et femmes qui savent faire venir les finances.

Le domaine de la prospérité est l'un de ceux dans lequels on trouble le plus d'excès. Maintenant les excès se trouvent des deux côtés : chez ceux qui veulent faire de cette forme d'enseignement une couverture pour vivre selon leurs convoitises, comme chez ceux qui se complaisent à croire que l'argent est synonyme de perversion.

Il y a une bataille à livrer pour entrer dans les promesses de Dieu. C'est une bataille importante : la bataille pour les finances! C'est un combat à la vie à la mort. Nombreux qui se sont dressés, dans le but de prospérer  pour aider l'oeuvre de Dieu, ont été abattus à terre par l'adversaire.

Il faut comprendre ce qu'il y a derrière l'argent : la possibilité d'annoncer l'Evangile jusqu'aux extrémités de la terre, sans limite de moyens, des gens aidés, des personnes soutenues pour travailler pour Christ, etc.